Festival Lumière 2015

[LUMIÈRE 2015] LA PROGRAMMATION

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Une fois de plus, le festival Lumière met véritablement le CINÉMA à l’honneur avec sa programmation folle centrée sur l’oeuvre de Martin Scorsese.
L’année précédente, nous avions couvert le festival dédié à Almodovar; un véritable travail de déconstruction de son cinéma s’est ainsi opéré devant nos yeux ébahis, lorsque nous découvrîmes les fascinants Opening Night, Le Paradis Perdu, les films d’Ida Lupino, ou même chacun des 6 morceaux de la saga Musashi Miyamoto. Un aperçu certes minime mais Ô combien éclairant sur la cohérence du programme du festival Lumière !

Nous avions donc compris: ce festival garde à cœur de mettre en évidence les influences d’un artiste à travers une sélection de films possédant chacun des thèmes ou motifs qui façonneront son oeuvre.

C’est donc avec grand plaisir qu’on se prépare à cette nouvelle édition, certains de repartir avec une vision plus approfondie du grand
Martin Scorsese. Nous commencerons d’ailleurs par examiner ICI les différents films du maître, projetés durant le festival.

 

PRIX LUMIÈRE: MARTIN SCORSESE

Who’s That Knocking at My Door (1967, 1h30)
Bertha Boxcar (Boxcar Bertha, 1972, 1h28)
Mean Streets (1973, 1h52)
Alice n’est plus ici (Alice Doesn’t Live Here Anymore, 1974, 1h52)
Taxi Driver (1976, 1h54)
New York, New York (1977, 2h44)
Raging Bull (1980, 2h09)
La Valse des pantins (The King of Comedy, 1982, 1h49)
La Dernière tentation du Christ (The Last Temptation of Christ, 1988, 2h44)
Les Affranchis (Goodfellas, 1990, 2h26)
Les Nerfs à vif (Cape Fear, 1991, 2h08)
Le Temps de l’innocence (The Age of Innocence, 1993, 2h19)
Casino (1995, 2h58)
Les Infiltrés (The Departed, 2006, 2h31)
Hugo Cabret (Hugo, 2011, 2h06)
Documentaires
Italianamerican (1974, 47min)
Shine a Light (2008, 2h03)
A Letter to Elia de Martin Scorsese et Kent Jones (2010, 1h)
George Harrison: Living in the Material World (2011, 3h28)
The 50 Year Argument de Martin Scorsese et David Tedeschi (2014, 1h35)
Série
Boardwalk Empire – épisode 1 (2010, 1h12)
Master class

Retrouvez sur CETTE PAGE un récapitulatif de tous nos articles critiques dédiés à Martin Scorsese !

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AKIRA KUROSAWA: LES ANNÉES TOHO

Le Plus dignement (Ichiban utsukushiku,1944, 1h27)
Qui marche sur la queue du tigre… (Tora no o wo fumu otokotachi, 1945, 59min)
Je ne regrette rien de ma jeunesse (Waga seishun ni kuinashi, 1946, 1h50)
Un merveilleux dimanche (Subarashiki nichiyôbi, 1947, 1h49)
L’Ange ivre (Yoidore tenshi, 1948, 1h38)
Chien enragé (Nora inu, 1949, 2h02)
Vivre (Ikiru,1952, 2h23)
Vivre dans la peur (Ikimono no kiroku, 1955, 1h43)
La Forteresse cachée (Kakushi-toride no san-akunin, 1958, 2h19)
Les Salauds dorment en paix (Warui yatsu hodo yoku nemuru, 1960, 2h31)
Yojimbo – Le Garde du corps (Yojimbo, 1961, 1h50)
Sanjuro (Tsubaki Sanjûrô, 1962, 1h36)
Entre le ciel et l’enfer (Tengoku to jigoku, 1963, 2h23)

Retrouvez sur CETTE PAGE un récapitulatif de tous nos articles critiques dédiés à AKIRA KUROSAWA !

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8 FILMS DE JULIEN DUVIVIER, en copies restaurées

David Golder (1931, 1h31)
La Bandera (1935, 1h43)
La Belle équipe (1936, 1h44)
Pépé le Moko (1937, 1h34)
Un carnet de bal (1937, 2h)
La Fin du jour (1939, 1h45)
Panique (1946, 1h31)
Voici le temps des assassins (1956, 1h55)

Et notre article récapitulatif

DUVIVIER

 

NUIT À LA HALLE TONY GARNIER:
NUIT DE LA PEUR !

The Thing de John Carpenter (1982, 1h44)
La Nuit des morts-vivants de George A. Romero (Night of the Living Dead, 1968, 1h36)
Insidious de James Wan (2010, 1h43)
Evil Dead de Sam Raimi (The Evil Dead, 1981, 1h20)

RETROUVEZ notre analyse de la programmation et des films : ICI

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CARTE BLANCHE DE MARTIN SCORSESE

Larmes de clown de Victor Sjöström (He Who Gets Slapped, 1924, 1h35)
La Terre d’Alexandre Dovjenko (Zemlya, 1930, 1h22)
Law and Order de Edward L. Cahn (1932, 1h14)
Colonel Blimp de Michael Powell et Emeric Pressburger (The Life and Death of Colonel Blimp, 1943, 2h43)
Enamorada d’Emilio Fernández (1946, 1h39)
L’Enfer de la corruption d’Abraham Polonsky (Force of Evil, 1948, 1h18)
On murmure dans la ville de Joseph Leo Mankiewicz (People will Talk, 1951, 1h50)
Vivre d’Akira Kurosawa (Ikiru,1952, 2h23)
Le Grondement de la montagne de Mikio Naruse (Yama no oto, 1954, 1h36)
Le Crime était presque parfait 3D d’Alfred Hitchcock (Dial M for Murder 3D, 1954, 1h45)
Les Sans-espoir de Miklós Jancsó (Szegénylegények, 1966, 1h28)
Antônio das Mortes de Glauber Rocha (O Dragão da Maldade contra o Santo Guerreiro, 1969, 1h45)
La Momie de Chadi Abdel Salam (Al-mummia, 1969, 1h43)
Lucky Luciano de Francesco Rosi (1973, 1h55)
Le Voleur de chevaux de Zhuangzhuang Tian et Peicheng Pan (Dao ma zei, 1986, 1h28)
Yeelen – La Lumière de Souleymane Cissé (Yeelen, 1987, 1h46)
Le Métier des armes d’Ermanno Olmi (Il mestiere delle armi, 2001, 1h40)

 

 

SOIRÉE HOMMAGE

Rencontre avec Sophia Loren
La Ciociara de Vittorio De Sica (1960, 1h41)

 

THE FILM FOUNDATION’S WORLD CINEMA PROJECT

La Noire de… d’Ousmane Sembène (1966, 1h05) précédé de Charretier d’Ousmane Sembène (Borom Sarret, 1963, 22min)
La Momie de Chadi Abdel Salam (Al-mummia, 1969, 1h43)
Une rivière nommée Titash de Ritwik Ghatak (Titash Ekti Nadir Naam, 1973, 2h38)
Insiang de Lino Brocka (1976, 2h04)
Master class
Margaret Bodde : Martin Scorsese et la Film Foundation

 

 

HISTOIRE PERMANENTE DES FEMMES CINÉASTES:
LARISSA CHEPITKO

Chaleur torride (Znoy, 1963, 1h19)
Les Ailes (Krylya, 1966, 1h20)
Le Début d’un siècle inconnu – composé de L’Ange d’Andrei Smirnov et de Le Pays de l’électricité de Larissa Chepitko (Nachalo nevedomogo veka 1967, 1h11)
Toi et moi (Ty i ya, 1971, 1h33)
L’Ascension (Voskhozhdenie, 1977, 1h51)

 

PIXAR: 30 ANS !

Toy Story de John Lasseter (1995, 1h27)
1001 pattes de John Lasseteret Andrew Stanton (A Bug’s Life, 1998, 1h35)
Monstres et Cie de Pete Docter, David Silverman et Lee Unkrich (Monsters, Inc, 2001, 1h32)
Le Monde de Nemo d’Andrew Stanton et Lee Unkrich (Finding Nemo, 2003, 1h41)
Les Indestructibles de Brad Bird (The Incredibles, 2004, 2h03)
Cars de John Lasseter (2006, 1h36)
Ratatouille de Brad Bird et Jan Pinkava (2007, 1h50)
WALL-E d’Andrew Stanton (2008, 1h37)

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INVITATIONS À

NICOLAS WINDING REFN

Les Négriers de Gualtiero Jacopetti et Franco Prosperi (Addio zio Tom, 1971, 2h04)
Le Guerrier silencieux, Valhalla Rising de Nicolas Winding Refn (Valhalla Rising, 2009, 1h30)
Drive de Nicolas Winding Refn (2011, 1h40)
Master class

 

SOPHIA LOREN

La Ciociara de Vittorio De Sica (1960, 1h41)
Mariage à l’italienne de Vittorio De Sica (Matrimonio all’italiana, 1964, 1h44)
Voix humaine d’Edoardo Ponti (Voce umana, 2014, 25min)
Rencontre à l’Auditorium de Lyon

 

JOHN LASSETER

Toy Story de John Lasseter (1995, 1h27)
1001 pattes de John Lasseteret Andrew Stanton (A Bug’s Life, 1998, 1h35)
Cars de John Lasseter (2006, 1h36)
Master class

 

GÉRALDINE CHAPLIN

Le Docteur Jivago de David Lean (Doctor Zhivago, 1965, 3h20)
Peppermint frappé de Carlos Saura (1967, 1h25)
Le Temps de l’innocence de Martin Scorsese(The Age of Innocence, 1993, 2h19)
Les Dollars des sables d’Israel Cardenas et Laura Amelia Guzmán (Dólares de arena, 2014, 1h25)
Master class

 

MADS MIKKELSEN

Le Guerrier silencieux, Valhalla Rising de Nicolas Winding Refn (Valhalla Rising, 2009, 1h30)
La Chasse de Thomas Vinterberg (Jagten, 2012, 1h51)
Master class

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Mads Mikkelsen – Valhalla Rising (Le Guerrier Silencieux) – Nicolas Winding Refn

 

MUSIQUE ET CINÉMA: INVITATION À ALEXANDRE DESPLAT

Regarde les hommes tomber de Jacques Audiard (1994, 1h40)
Bandes originales : Alexandre Desplat à notre portée de Pascale Cuenot (2015, 52min)
Séance hommage et célébration de son Oscar
Master class

 

MOMENTS D’HISTOIRE

Gaumont, depuis que le cinéma existe
Un soir au Gaumont-Palace
– Programme de films muets (1900-1920, 1h30)
La Passion de Jeanne d’Arc de Carl Theodor Dreyer (1928, 1h21)
Un carnet de bal de Julien Duvivier (1937, 2h)
Battement de cœur d’Henri Decoin (1940, 1h37)
Le Garçon sauvage de Jean Delannoy (1951, 1h58)
Le Monte-charge de Marcel Bluwal (1962, 1h26)
Journal d’une femme en blanc de Claude Autant-Lara (1966, 1h50)
Laisse aller… c’est une valse ! de Georges Lautner (1971, 1h44)
La Folie des grandeurs de Gérard Oury (1971, 1h49)
Nous ne vieillirons pas ensemble de Maurice Pialat (1972, 1h47)
Don Giovanni de Joseph Losey (1979, 2h56)
Master class
Nicolas Seydoux
Histoire de l’image et du son

Souvenir de Jean Yanne
Réalisateur
Les Chinois à Paris de Jean Yanne (1974, 1h54)
Acteur
Que la bête meure de Claude Chabrol (1969, 1h50)
Laisse aller… c’est une valse ! de Georges Lautner (1971, 1h44)
Nous ne vieillirons pas ensemble de Maurice Pialat (1972, 1h47)
Regarde les hommes tomber de Jacques Audiard (1994, 1h40)

 

VOYAGE DANS LE CINÉMA FRANÇAIS,
PAR BERTRAND TAVERNIER

Battement de cœur d’Henri Decoin (1940, 1h37)
Le Garçon sauvage de Jean Delannoy (1951, 1h58)
Le Monte-charge de Marcel Bluwal (1962, 1h26)
Journal d’une femme en blanc de Claude Autant-Lara (1966, 1h50)
Découvrir Jacqueline Audry
Olivia de Jacqueline Audry (1951, 1h35)
L’École des cocottes de Jacqueline Audry (1958, 1h34)
Master class

 

VIVA MEXICO !

Distinto amanecer de Julio Bracho (1943, 1h46)
Double destinée de Roberto Gavaldón (La otra, 1946, 1h38)
Enamorada d’Emilio Fernández (1946, 1h39)
Maison de rendez-vous d’Alberto Gout (Aventurera, 1950, 1h41)
Macario (Le Destin) de Roberto Gavaldón (Macario, 1960, 1h31)

 

NOUVELLES RESTAURATIONS

Léon Morin prêtre de Jean-Pierre Melville (1961, 2h10)
Les Frissons de l’angoisse de Dario Argento (Profondo rosso, 1975, 2h07)
Section spéciale de Costa-Gavras (1975, 1h58)
L’Histoire officielle de Luis Puenzo (La historia oficial, 1985, 1h50)
Les Fous de Bassan d’Yves Simoneau (1987, 1h47)
La trilogie marseillaise de Marcel Pagnol
Marius d’Alexander Korda (1931, 2h)
Fanny de Marc Allégret (1932, 2h07)
César de Marcel Pagnol (1936, 2h21)

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les frissons de l’angoisse – Dario Argento

 

TRÉSORS DES ARCHIVES

Cineteca di Bologna (Bologne, Italie) : Assunta Spina de Gustavo Serena et Francesca Bertini (1915, 1h07)
EYE Film Institute (Amsterdam, Pays-Bas) : Amsterdam à l’image et autres courts-métrages (1900-2010, 1h)
Deutsche Kinemathek (Berlin, Allemagne) et British Film Institute (Londres, Grande-Bretagne) : Quatre de l’infanterie de Georg Wilhelm Pabst (Westfront 1918, 1930, 1h35)
MoMA – Museum of Modern Art (New York, Etats-Unis) : Wild Girl de Raoul Walsh (1932, 1h18)
Archives françaises du film du CNC (Paris, France) : Les Yeux brûlés de Laurent Roth (1986, 58min)
Cinémathèque Royale de Belgique (Bruxelles, Belgique) : Je, tu, il, elle de Chantal Akerman (1974, 1h26)
Lobster Films (Paris, France) : La Bataille du siècle de Clyde Bruckman (The Battle of the Century, 1927, 20min)

 

RESSORTIES

King Kong de Merian Caldwell Cooper et Ernest Beaumont Schoedsack (1933, 1h44)
La Vallée de la peur de Raoul Walsh (Pursued, 1947, 1h41)
M de Joseph Losey (1951, 1h28)
Joe Hill de Bo Widerberg (1971, 1h53)
Bad Boy Bubby de Rolf de Heer(1993, 1h52)

 

CURIOSITÉS DES ANNÉES 80

Hôtel des Amériques d’André Téchiné (1981, 1h33)
Dans la ville blanche d’Alain Tanner (1983, 1h48)
Maine-Océan de Jacques Rozier (1986, 2h11)
Double messieurs de Jean-François Stévenin (1986, 1h31)
Zanzibar de Christine Pascal (1989, 1h36)

 

SUBLIMES MOMENTS DU MUET

Ciné-concerts Auditorium
Un soir au Gaumont-Palace
– Programme de films muets (1900-1920, 1h30)
La Passion de Jeanne d’Arc de Carl Theodor Dreyer (1928, 1h21)

Autres muets
Assunta Spina
de Gustavo Serena et Francesca Bertini (1915, 1h07)
Larmes de clown de Victor Sjöström (He Who Gets Slapped, 1924, 1h35)
La Bataille du siècle de Clyde Bruckman (The Battle of the Century, 1927, 20min)
La Terre d’Alexandre Dovjenko (Zemlya, 1930, 1h22)

 

GRANDES PROJECTIONS

Blade Runner de Ridley Scott (1982, 1h57)
Out of Africa de Sydney Pollack (1985, 2h41)
Ran d’Akira Kurosawa (1985, 2h42)
Le Docteur Jivago de David Lean (Doctor Zhivago, 1965, 3h20)
Spartacus de Stanley Kubrick (1960, 3h18)
Don Giovanni de Joseph Losey (1979, 2h56)
Ivan le terrible de Sergueï Eisenstein (Ivan Grozniy, 1945, 3h06)

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Blade Runner – Ridley Scott

 

JEUNE PUBLIC

Tous les films d’animation Pixar et Hugo Cabret de Martin Scorsese seront présentés en VF à certaines séances.

 

DOCUMENTAIRES SUR LE CINÉMA

Belmondo par Belmondo de Paul Belmondo (2015, 1h39)
Ingrid Bergman in Her Own Words de Stig Björkman (Jag Är Ingrid, 2015, 1h54)
Hitchcock/Truffaut de Kent Jones (2015, 1h20)
La Fabian de Dominique Besnehard (2015, 55min)
Bandes originales : Alexandre Desplat à notre portée de Pascale Cuenot (2015, 52min)
La Légende de la Palme d’Or d’Alexis Veller (2015, 1h11)
Depardieu grandeur nature de Richard Melloul et Renaud Messaguet (2015, 59min)
Pierre Rissient, un passeur au cinéma de Benoît Jacquot, Pascal Mérigeau et Guy Seligmann (2015, 1h)
Cinékino – Parties 1 et 2 de Matthias Luthardt et Laurent Heynemann (2015, 2 x 52min)
Cinema d’Eric Khoo – Tiré du film collectif 7 Letters (19min)

 

Toutes les informations disponibles sur:  http://www.festival-lumiere.org/

[divider]Le FESTIVAL LUMIÈRE sur Le Blog du Cinéma[/divider]

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Voir ci-dessus

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[toggler title= »LUMIERE 2014 : Pedro Almodovar » ]
Programmation de Lumière 2014

PEDRO ALMODOVAR :

Pepi, Luci, Bom et autres filles du quartier de Pedro Almodóvar (Pepi, Luci, Bom y otras chicas del montón, 1980, 1h18)
Qu’est-ce que j’ai fait pour mériter ça ? de Pedro Almodóvar (¿ Qué he hecho yo para merecer esto !!, 1984, 1h47)
Matador de Pedro Almodóvar (1986, 1h45)
La Loi du désir de Pedro Almodóvar (La ley del deseo, 1987, 1h44)
Femmes au bord de la crise de nerfs de Pedro Almodóvar (Mujeres al borde de un ataque de nervios, 1988, 1h35)
Attache-moi ! de Pedro Almodóvar (Átame !, 1989, 1h41)
Talons aiguilles de Pedro Almodóvar (Tacones lejanos, 1991, 1h53)
La Fleur de mon secret de Pedro Almodóvar (La flor de mi secreto, 1995, 1h42)
En chair et en os de Pedro Almodóvar (Carne trémula, 1997, 1h39)
Tout sur ma mère de Pedro Almodóvar (Todo sobre mi madre, 1999, 1h40)
Parle avec elle de Pedro Almodóvar (Hable con ella, 2002, 1h52)
Volver de Pedro Almodóvar (2006, 2h02)
La piel que habito de Pedro Almodóvar (2011, 2h01)

SAGA MUSASHI MIYAMOTO : CRITIQUE des 6 films

PARADIS PERDU, d’Abel Gance: CRITIQUE

OPENING NIGHT, de John Cassavettes : CRITIQUE

Une Femme Dangereuse, avec Ida Lupino: CRITIQUE

Chroniqués par Georgeslechameau

La traversée de Paris

Chroniqué par Louis

lumiere2014 (2)

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  1. 6 ans que nous attendions Scorcese, le voici enfin : pour voir le restaurant à son nom à Lyon vers la toute renouvelée Fourmi ? Le vendredi soir précédent le Festival, l’électricien n’a pas terminé les travaux du tout nouveau CNP Bellecour. Si le catalogue s’est considérablement amoindri, nous épargnant les anecdotes d’Allociné, le nombre de films projetés a considérablement augmenté avec beaucoup de projections uniques. Des ambassadeurs tels que « Indochine » (1992) Régis Wargnier, le bougon et taciturne mais bien attachant Phil Garnier, écrivain, journaliste à « Libé », grand connaisseur de la culture et du cinéma américains jusque dans ses recoins les plus underground, et co-fondateur de la mythique émission tv « Cinéma cinémas » et quelques autres ont été désignés afin de présenter un paquet de films sur une semaine. Certains films scorcesiens, période Di Carpaccio (« Aviator », « The Aviator », 2004; « Les Infiltrés », « The departed », 2006; « Shutter island », 2010, les deux derniers étant absents du Festival), ont été projetés avant le Festival, sage initiative renouvelée. A noter l’absence de « After hours » (1985), « Un voyage avec Martin Scorsese à travers le cinéma américain » (« A Personal Journey with Martin Scorsese Through American Movies », 1995), « Kundun » (1997), « A tombeau ouvert » (« Bringing Out the Dead », 1999), « No direction home » (2005), ce qui commence à faire beaucoup comme manques. Mon petit doigt me dit que « Les affranchis » (« Goodfellas », 1990), certes hors contexte de clôture, et « Casino » (1995) de Scorcese ainsi que quelques Duvivier seront projetés dans des conditions moins torrides et à un prix moindre pour les abonnés et club à l’Institut Lumière après le Festival et ce, jusqu’au 11 novembre. Des séances sont parties très vites comme « La Ciociara » (1960) avec la présence de Sophia Lauren ou le prix Lumière qui n’a tenu qu’une minute sur le net avec plus de 70 000 connexions. « Raging Bull » (1980), l’un des meilleurs Scorcese, est présenté par Salma Hayek. Par contre des séances comme « Les frissons de l’angoisse » (« Profondo Rosso », 1975), pourtant présenté par Dario en personne, reste sur le paletot peu avant le Festival, tout comme la Nuit de la peur, présentée par cet immense connaisseur de films d’horreur, Alain Chabat. You talking to me ?