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[CANNES 2018] COMPTE-RENDU #8 : Under The Silver Lake et Burning

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Huitième compte-rendu de nos aventures à Cannes avec une grosse attente (Under The Silver Lake) et un sublime film coréen.

Découvert à la Semaine de la Critique avec l’impeccable It Follows, David Robert Mitchell était attendu cette année en Compétition Officielle. Une suite logique, qui correspondait parfaitement à cette édition où des nouveaux réalisateurs prenaient le pouvoir. C’est peu de dire que Under The Silver Lake était attendu. Dans ce film néo-noir, Sam (Andrew Garfield) se lance sur les traces de Sarah (Riley Keough) suite à sa mystérieuse disparition dans un Los Angeles halluciné. Radicalement différent de It Follows, beau mais foutraque, bourré de références mais aussi très personnel, Under The Silver Lake est le film d’un artiste unique qui est allé au bout de son idée. On aime ou on aime pas, on ne sait pas vraiment à vrai dire, mais si l’on aime le cinéma, force est de constater qu’on en aura ingurgité par tous les pores de la peau durant cette projection.

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Second film en compétition de la journée : Burning, réalisé par Lee Chang-Dong ! 8 ans après Poetry qui lui a permis de remporter le Prix du Scénario, il revient avec un thriller sublime où une histoire d’amour prend une drôle de tournure suite à l’arrivée d’un étrange et riche jeune homme. Handicapé par un bon gros quart d’heure en trop dans sa première partie, le film ne passe pas loin du sans faute, en distillant un spleen imparable. La mise en scène, virtuose, respire la maîtrise. Le scénario, entre non-dits et révélations fracassantes, nous ballade avec habileté. Surveillez le palmarès, vous risquez bien de voir ce Burning décrocher quelques chose ! Notre critique, à découvrir demain.cannes 2018Entre ces deux films, petit tour à la Quinzaine des Réalisateurs pour découvrir Mirai d’Mamoru Hosoda. Une jolie parabole sur l’agrandissement de la famille et la transmission générationelle mais le résultat gentillet manque un peu de profondeur pour nous séduire. Les plus jeunes trouveront forcément leur compte, les autres probablement un peu moins. On a largement préféré des œuvres de la trempe de Summer Wars ou le Garçon et la Bête.

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