Après dix ans d’absence, Jacques ressurgit dans la vie de Mado, aujourd’hui mariée et mère de Paul, un garçon de sept ans. La relation de l’ancien couple est entachée du deuil d’un enfant. Alors que Mado a refait sa vie, Jacques en paraît incapable et lorsqu’il rencontre Paul, c’est un choc. La complicité de plus en plus marquée entre Jacques et Paul finit par déranger Mado qui leur interdit de se revoir. Mais Jacques ne compte pas en rester là…
• Date de sortie : 31 octobre 2012
• Réalisé par Sandrine Bonnaire
• Film Français, belge, luxembourgeois
• Avec William Hurt, Alexandra Lamy, Augustin Legrand
• Durée : 1h 38min
• Titre original : J’Enrage De Son Absence
• Bande-Annonce :
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=PCDFzSsq2W0[/youtube]
ILS AIMENT
« Il y a de la passion et du talent, mais pas de mélodrame, dans cette oeuvre intense. »20 Minutes
« Sandrine Bonnaire a un vrai oeil de réalisatrice (…) Son cinéma est brut, franc, débarrassé des faux-semblants. La lumière est belle. Les acteurs, quasiment épiés, magnifiques. »Le Parisien
« J’enrage de son absence fait de Sandrine Bonnaire, l’héritière des grands cinéastes naturalistes avec lesquels elle a tourné. »Le Monde
« Le scénario (…) est maitrisé, tendu, intelligent, la réalisation est sans coquetterie aucune, la musique noie un peu le final, peut-être, mais le film s’arrête juste quand il convient, implacable. »Le Nouvel Observateur
« C’est tout le talent de Sandrine Bonnaire, qui a su aborder frontalement la douleur avec un tact et une délicatesse dont elle avait déjà fait preuve dans son formidable documentaire autour de sa soeur autiste, Elle s’appelait Sabine. »
« (…) ce regard porté sur le chagrin et ce que l’on en fait reste de bout en bout sensible et juste. »Première
ILS AIMENT MOINS
« Pour son passage à la fiction, Sandrine Bonnaire échoue malheureusement à développer une belle idée de départ. »Les Fiches du Cinéma
« Un écrin plutôt agréable pour une histoire familiale tragico-psychologique qui ne montre qu’un fou lambda dont on ne parvient même pas à avoir pitié… »Ecran Large
« (…) quel défi plus difficile que de réussir un film sur un matériau aussi chargé ? on salue le courage de Bonnaire de s’y être mesurée, mais on est désolé de ne pas être convaincu par le résultat. »Les Inrockuptibles
« (…) chaque scène est comme une pelletée de terre supplémentaire sur la patience du spectateur. »Transfuge